Kubski
Grégoire
Grégoire
Kubski

Mon parcours

Né le 7 mars 1991 et troisième d’une fratrie de quatre enfants, j’ai grandi à Morlon et ai passé toute ma scolarité en Gruyère. J’ai étudié au Collège du Sud à Bulle tout en travaillant comme surveillant au Château de Gruyères. Après mon collège, j’ai obtenu un bachelor en droit à l’université de Fribourg. Puis j’ai accompli mon école de recrue à Thoune comme explorateur dans les troupes blindées, avant de reprendre les études avec l’obtention d’un master en droit à l’Université de Fribourg.

Professionnel

A la fin de mes études, je me suis orienté vers le stage d’avocat. J’ai d’abord eu l’opportunité d’effectuer 7 mois de stage au Tribunal de la Gruyère avant d’intégrer une étude d’avocats bulloise durant 19 mois. Après l’obtention de mon brevet d’avocat fribourgeois, j’ai travaillé durant près d’une année comme juriste au sein de la Préfecture de la Sarine, où j’ai pu traiter tant d’aménagement du territoire que des recours de citoyen·nes à l’encontre des décisions des communes. Enfin, j’ai été nommé en 2020 Chef de section suppléant d’une équipe de 13 personnes au sein du Secrétariat d’Etat aux migrations à Berne, poste que j’occupe actuellement.

Musical

A l’âge de 9 ans, j’ai commencé des cours de violon au Conservatoire. J’ai d’abord intégré le petit orchestre du Conservatoire, puis l’orchestre du CO de Bulle et enfin l’Orchestre de la ville de Bulle (OVB), institution créée en 1933, que je préside désormais depuis 7 ans. Avec l’OVB, j’ai le plaisir de jouer tant Beethoven que l’abbé Bovet, tout en participant à de nombreux concerts en accompagnement des chœurs de la région (Céciliennes, Pastorale gruérienne, Tutticanti). J’ai également eu la chance d’accompagner les chœurs de Riaz et de la Tour-de-Trême lors des messes de Noël et de Pâques. Comme il manquait d’altistes dans l’orchestre, je me suis mis à l’alto et je jongle actuellement entre la pratique de l’alto et du violon selon les besoins de l’orchestre.

Sportif

Ma passion est depuis longtemps le unihockey. J’ai passé par toutes les équipes de juniors du Unihockey club Gruyère, avant d’intégrer la première équipe naviguant entre la 2e et la 3e ligue en grand terrain. J’ai été sélectionné dans les sélections romandes M18 et j’ai joué durant plus de 10 ans dans la première équipe du UHC Gruyère. N’étant pas un joueur très talentueux, j’ai toujours eu à cœur de « gratter » dans les bandes et à bosser pour l’équipe. En parallèle, j’ai officié en binôme avec mon frère comme arbitre d’unihockey durant près de 10 ans. Désormais, je me consacre essentiellement à la course à pied et au vélo. J’ai eu le plaisir de prendre part 5 fois à Sierre-Zinal, d’innombrables fois à la Corrida bulloise, ou encore à des courses comme Neirivue-Moléson, le Gruyère Trail Charmey ou Morat-Fribourg. Je pratique enfin le vélo de manière quotidienne, soit pour me rendre quotidiennement au travail depuis la gare de Berne, soit lors de sorties plus longues en soirée et le week-end.

Pour la pratique du vélo

Depuis le début de l’année 2021, j’ai intégré le comité de PRO VELO Fribourg/Freiburg, association qui s’engage à promouvoir la pratique du vélo et à renforcer les infrastructures pour la pratique de la petite reine.J’ai l’honneur d’avoir été élu président de PRO VELO Fribourg/Freiburg en mars 2023 et oeuvre à développer un meilleur dialogue et une sécurité plus conséquente pour les usager-es de la route.

Pour la promotion du débat chez les jeunes

En janvier 2016, avec plusieurs ancien·nes du Collège du Sud, nous avons fondé une plateforme de débat au Collège du Sud et à l’Ecole professionnelle artisanale et commerciale de Bulle (EPAI), afin d’intéresser les jeunes aux sujets actuels de société. Nous avons lancé ce projet qui a rencontré un franc succès, en invitant à débattre les jeunes aux côtés de politicien·nes aguerri·es durant les pauses de midi. L’idée principale est de lutter contre l’abstentionnisme chez les jeunes qui est malheureusement encore trop important dans un pays où nous avons pourtant la chance d’avoir notre mot à dire. Le projet se poursuit encore à l’heure actuelle sous la houlette d’élèves de ces établissements.

Au sein de l’Armée suisse

Après mon école de recrue et un cours de répétition comme explorateur dans les troupes blindées, j’ai été sélectionné pour devenir instructeur en communication dans le corps d’état-major FOMIC-MIKA, où j’officie encore actuellement. Cela donne un sens à mon engagement étant donné que je donne des cours tant aux officier-es qu’à des civils sur des thèmes variés tels que la gestion de conflit ou la négociation. Il me reste à l’heure actuelle une dizaine de jours avant d’achever mes jours de service.